Raphael en rafale

Pour Super Welter, Raphael avait envie d’un son brut et uppercut. Joëlle Lehrer l’a mitraillé de questions.

D’où vient l’idée de cet album Super Welter?

Ce n’est pas un album concept. Je me suis simplement mis à travailler avec Benjamin Lebeau qui est doué et possède une véritable joie de vivre. Petit à petit, on a trouvé que les morceaux avaient de la gueule. Et qu’il n’était pas nécessaire que d’autres musiciens interviennent. Comme c’est un disque très électronique, c’était jouable. Donc, nous sommes allés au bout de notre démarche. Cette structure à deux est forcément flexible.

Vous vous êtes mis à la boxe récemment?

Oui, je suis encore au stade débutant. J’ai choisi d’appeler ce disque Super Welter car c’était amusant. C’est un clin d’œil.

Quel parallèle pourriez-vous faire entre ce disque et ce que vous connaissez de la boxe?

Un côté direct, explosif, sans chichis, simple. Tout l’inverse de la sophistication.

Quand vous séjournez à Bruxelles, vous choisissez le Métropole. Vous y avez même tourné un clip. Qu’est-ce que vous lui trouvez de plus, à cet hôtel?

Les chambres sont belles, l’ascenseur est une œuvre d’art, le personnel est gentil, le restaurant et le bar sont super. C’est un de mes hôtels préférés au monde. In the world! (Rires).

Envie d’en apprendre davantage sur Raphael? Retrouvez son interview complète dans votre magazine GAEL de janvier. Et pour (re)découvrir "Manager", premier single de Super Welter, cliquez ci-dessous.

Raphael, Super Welter, EMI/Virgin.