Vous pouvez modifier vos choix à tout moment en cliquant sur « Paramètres des cookies » en bas du site.
Axelle Redvival
Avec "Rouge ardent", Axelle Red revient à ce qui lui sied le mieux: la soul music avec une fibre européenne. Un album qui claque et qui a d’ailleurs récemment valu à la chanteuse un disque d’or en Belgique.
Joëlle Lehrer a interviewé Axelle Red à propos de son nouvel album "Rouge ardent". Extrait de cette rencontre entre 2 rousses.
"Rouge ardent" coïncide avec vos 20 ans de carrière...
J’ai fait un cycle complet. J’ai retrouvé la liberté et l’enthousiasme que j’avais pour le 1er album. À mes débuts, je cherchais l’inspiration. Je n’avais aucune expérience, mais énormément d’audace. Trop d’expérience peut parfois être un frein. Ensuite j’ai fait des albums romantiques et d’autres qui reflétaient mes déceptions face à la misère humaine. À un moment, ma musique servait mon engagement humanitaire. Cette fois, je me suis inventé une histoire pour pouvoir parler d’une rupture sentimentale. Je n’allais quand même pas mettre mon homme dehors! (rires).
Memphis-Bruxelles...
C’est aux États-Unis qu’Axelle Red a enregistré ce disque. Avec Mark Plati – très connu pour son travail notamment avec Bowie – à la production. Elle aime être en studio, dans cette bulle de musique.
A.R.: "Être en studio là-bas, ça change tout. Chez moi, je peux travailler, mais je reviens trop vite à la réalité. J’aime avoir le vrai batteur de Memphis. C’est mon son depuis 'À tâtons'. La soul ce n’est pas que le groove. C’est aussi l’émotion."
J.L.: "Dans Ce cœur en or, vous glissez 'Chez des Marolliens, j’ai pris le thé'...
A.R.: "J’avais envie d’inclure les Bruxellois. Je n’ai jamais écrit sur la Belgique. Mais c’est ma culture! Alors, même si certains ne connaissent pas, ce n’est pas grave. Il faut se le permettre.
Retrouvez l’intégralité de cette rencontre dans votre magazine GAEL de mars et Axelle Red à le 3 mai 2013 à l’AB ou tout de suite, ci-dessous, avec le clip de la plage titulaire de "Rouge ardent".