Rencontre: Alexa Chung, le style dans le sang
Alexa Chung n’est pas une icône fashion comme les autres, elle est l’idole des modeuses. Notre journaliste — qui est aussi sa plus grande fan — a parlé vêtements et audace avec elle.
Adepte d’un style simple en apparence (look collégienne, chaussures plates, besace griffée), Alexa Chung est l’une des icônes mode les plus influentes du monde. Sur elle, tout prend tout de suite une dimension ultra-branchée. Elle a popularisé le col Claudine, les chaussures plates (qui ne font pas mamie) et les robes vintage. Son wob (ou carré flou, pour les non initiées) est aussi célèbre que le sac Alexa de Mulberry. L’an dernier, elle a lancé une série de pièces pour Marks & Spencer en s’inspirant des archives maison. Cette saison, UGG l’a choisie comme ambassadrice. Nous avons réalisé le rêve de milliers de modeuses à travers le monde: papoter fringues avec la belle Anglaise...
Alexa, vous êtes l’ambassadrice d’UGG. Vous en portiez déjà, avant ça?
« Oui, tout à fait. Je suis fan de la marque depuis plus de quinze ans. J’en porte souvent et avec un immense plaisir. Pour moi, cette botte est un classique, au même titre que le sac 2.55 de Chanel. J’aime les labels qui sont numéro un dans leur créneau. »
« je ne m’habille pas pour plaire aux hommes. Jamais. »
La différence entre un sac Chanel et une botte UGG, c’est que le premier fait l’unanimité. Quant aux UGG, on sait par exemple que beaucoup d’hommes les détestent…
« En ce qui me concerne, je ne m’habille pas pour plaire aux hommes. Jamais. Il suffit de me regarder pour s’en convaincre. Je porte des salopettes, des chaussures plates, des petits cols... Les hommes ne fantasment pas sur ce type de pièces, mais moi, je les adore. Je comprends toutefois ce que vous voulez dire. Une paire d’UGG n’a rien de sexy en soi. Mais si vous vous sentez bien dans ce que vous portez, vous dégagez automatiquement une sorte d’assurance qui vous rend sexy. Les filles qui se fichent de ce qu’on pense d’elles sont, à mon sens, les plus sexy. »
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On a l’impression que vous passez votre vie sur le tapis rouge. Or, vous collaborez principalement avec des marques accessibles. Comment l’expliquez-vous?
« J’aime représenter des marques qui parlent au plus grand nombre de femmes. Dans mon métier de mannequin, animatrice télé et socialite, j’ai la chance de pouvoir fréquemment emprunter des robes griffées et souvent très chères. Je trouve évidemment ça fantastique. Au quotidien, je mixe les pièces de luxe et les vêtements accessibles. Pour faire simple, disons que je ne porte que ce que j’aime. Je trouve les looks de la rue particulièrement inspirants. C’est d’ailleurs ce qui explique pourquoi je plais tellement à la génération Instagram. C’est moi qui choisis mes vêtements. Tout est vrai. Je suis vraie. »
En cette période, une question nous brûle les lèvres. Que devons-nous porter pour les fêtes?
« Je suis toujours surprise que la plupart des gens réservent les paillettes et les sequins à ce moment de l’année. Je trouve au contraire qu’on devrait s’habiller comme si c’était la fête tous les jours, sans se soucier des convenances. Ma réponse ne vous arrange pas, je suppose » (elle rit).
Pas vraiment...
« Portez un pull de Noël complètement kitsch. Non, je plaisante. Optez plutôt pour un vêtement que vous aurez reçu à Noël. Moi, j’ai un rituel: chaque année, j’enfile une pièce offerte par ma sœur. »
Retrouvez l’intégralité de l’interview et d’autres révélations sur Alexa Chung dans le GAEL du mois de décembre, disponible en librairie!
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