Diane von Furstenberg en vrai

C’est une Guest de classe internationale que GAEL a l’honneur d’accueillir en ce mois de septembre: Diane von Furstenberg, célèbrissime créatrice de la wrap dress et femme d’affaires inspirée (et inspirante), se révèle en 5 faits.

1. ELLE EST BELGE...

« De mon enfance à Bruxelles, je me souviens d’abord et surtout de mon école, rue de la Paille. De belles années. Il y avait aussi les merveilleux, mon dessert préféré. Mais ça, c’est peut-être parce que ma meilleure amie était Myriam Wittamer (NDLR: de la famille des célèbres pâtissiers du Sablon). Aujourd’hui, ce qui me relie très fort à la Belgique, c’est mon frère qui y vit avec sa femme Greta (NDLR: propriétaire de la boutique DVF de Bruxelles) et mes deux nièces. »

2. ... ET NEW-YORKAISE

« La ville de New York est bâtie sur du granite. D’où l’incroyable énergie qui s’en dégage. Vous pouvez la sentir à chaque instant. Ici, on est près de la mer. Tout ce que j’aime. Et puis, vous savez: cette ville m’a tant donné! Comment pourrais-je ne pas l’aimer? »

« J’aime penser que la vie est comme un grand voyage. »

3. SA FAMILLE ET SES AMIS SONT SON MOTEUR

« Quand on vieillit – j’aime dire que je suis à l’automne de ma vie –, la famille est en effet ce qu’il y a de plus important. On voit ses enfants devenir parents. Il y a cette idée de continuité qui nous raccroche à la vie, à nous-même, à nos racines. Vous êtes également très proche de vos amis. Votre vie semble ponctuée de belles rencontres. J’aime penser que la vie est comme un grand voyage, en effet. À un moment de mon existence, j’ai compris l’importance de l’amitié, de ces liens qui se tissent au fil du temps et qui vous aident à vous construire. »

4. ELLE NE VIT PAS AVEC SON MARI

« Barry et moi vivons séparément, mais juste lorsque nous sommes à New York. Le reste du temps, dans ma maison de campagne et sur le bateau de Barry, nous sommes ensemble. Ce n’est pas, à mon sens, le secret du bonheur. C’est juste notre mode de fonctionnement à nous. Même lorsque nous sommes dans la même maison, nous ressentons le besoin de nous isoler. C’est vital, pour moi. Hier, justement, j’ai reçu un appel de mes enfants. Ils viennent de perdre leur grand-mère paternelle et voulaient me rassurer sur le fait qu’ils ne me laisseraient jamais seule. C’est amusant, parce que je n’ai pas peur d’être seule. Cela ne fait pas partie de mes angoisses existentielles. »

« Être au sommet ou tout en bas est un concept très relatif. »

5. ELLE A CONNU DES ÉCHECS

« Vous savez, on peut regarder une femme assise à l’autre bout d’une pièce et se dire qu’elle a tout: argent, amour, succès. Pourtant, on ne sait absolument pas ce qu’elle traverse. Les pires choses, peut-être! Être au sommet ou tout en bas est un concept très relatif. Parfois, on se dit qu’on touche le fond sans même réaliser qu’on est déjà en train de rebondir. »

À voir en vidéo: notre experte mode Marie Honnay nous parle de sa rencontre avec la créatrice à New-York. Découvrez-en plus sur notre GAEL Guest dans le numéro du mois de septembre, disponible dès maintenant en librairie!

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