Rencontre: Claire Chazal se prête au jeu du tac-au-tac
Après 25 ans de présence tranquille sur les écrans, Claire Chazal avait fini par incarner une féminité forte et assurée. Et pourtant. Dans son nouveau livre, la journaliste française casse le mythe et dévoile ses fragilités.
SPEED DATING AVEC CLAIRE CHAZAL
Les ingrédients de vacances réussies?
D’abord mon fils, des amis ensuite et la chaleur du Sud.
Quelqu’un pour jouer votre rôle au cinéma?
Nathalie Baye, qui est à la fois douce et très volontaire, indépendante et très sentimentale.
Un tableau dans lequel vous voudriez vivre?
Dans un intérieur de Veermer avec la douceur des velours, la chaleur des couleurs, la lumière de la bougie…
Un talent caché?
La danse. Je la pratique depuis longtemps, mais je n’en parle que depuis récemment.
Un personnage de fiction à inviter à dîner?
Amory Clay, l’héroïne de William Boyd, qui est une femme libre, amoureuse, passionnée par son métier, authentique et moderne. J’aurais bien aimé la rencontrer.
Le menu d’un repas idéal?
Des légumes cuits avec de l’huile d’olive et un verre de champagne. Je suis végétarienne par goût, pas par conviction.
Un luxe qui vous réjouit?
Une jolie maison dans le Luberon et en général les belles matières qui durent, comme un très beau cuir pour une paire de chaussures.
Un son ou une musique qui vous apaise?
J’écoute de la musique classique toute la journée. Celle qui m’apaise le plus, c’est celle de Bach.
La prochaine photo que vous prendrez?
Mon chat qui vieillit et qui va disparaître. C’est un chat de gouttière gris tigré qui a 16 ans.
Votre dernier éblouissement?
Orphée et Eurydice de Gluck chorégraphié par Pina Bausch que j’ai été revoir à l’occasion des adieux de Marie-Agnès Gillot. C’était une émotion totale.
- Puisque tout passe: Fragments de vie, chez Grasset.
Retrouvez cette rencontre en intégralité dans le GAEL de septembre, disponible en librairie!
CULTURE:
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