Meet our Guest: Joël Dicker, l’artiste et le businessman
Avec 12 millions de livres vendus et traduits en 40 langues, il est une icône de la littérature populaire. Romancier devenu également homme d’affaires à la tête d’une maison d’édition, le trentenaire genevois croit en la concrétisation des rêves. Portrait de notre GAEL Guest du mois Joël Dicker en 3 dates-clés. Par Paloma de Boismorel. Photo: Laetizia Bazzoni.
AUTOBIO EN 3 DATES
Été 1997: « Je découvre les plages du Maine, où je vais passer les vingt prochains étés de ma vie. »
Juin 2001 « J’ai 16 ans, et j’ai mon premier scooter. C’est le début d’une forme de liberté. Il fait chaud et je me souviens des odeurs de l’été sur mon scooter, notamment celle de l’herbe coupée. Je ressens une forme de sérénité même si je crois que c’est de la nostalgie, car à 16 ans, rien n’est serein. »
Juillet 2011: « Par une très chaude après-midi, je rencontre Bernard de Fallois pour la première fois, rue Férou, à Paris, pour lui parler de mon prochain roman. Cette rencontre va complètement changer ma vie. »
SON ACTU
Suite de La Vérité sur l’affaire Harry Quebert qui l’a fait connaître en 2012, le nouveau page-turner de Joël Dicker, L’Affaire Alaska Sanders (512 p., éd. Rosie & Wolfe), nous plonge au cœur d’un nouveau cold case en compagnie de l’écrivain Marcus Goldman et du sergent Perry Gahalowood. Un roman policier qui nous parle de trahisons, de solitude et d’amitié.
Découvrez notre rencontre avec Joël Dicker en intégralité dans le GAEL de mai, disponible en librairie.
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