Virginie Hocq: son univers personnel
Virginie Hocq aime les sacs, les bougies Dyptique et a un rapport particulier au chiffre 8... Contours de son univers personnel.
Depuis sa première imitation de pub à l’âge de 5 ans, la comédienne de 40 ans trace de plus en plus concrètement les contours de son univers personnel. Tête-à-tête et shooting dans son chaleureux appartement bruxellois où elle se livre, entre autres, en quelques objets.
Le chiffre 8
À 8 ans, j’ai participé à un spectacle à l’école. En sortant de scène, j’ai dit à mes parents: «Je veux faire du théâtre.» Mon père a dit: «Termine ton Coca, on verra après.» Ils m’ont inscrite en septembre à l’académie de Braine-l’Alleud, je n’ai plus jamais arrêté. Toute ma famille m’a toujours encouragée. Quand on regardait l’émission de Drucker, la mère de ma cousine disait: «Un jour, tu seras là-bas.»
«Ce chiffre 8 était en façade de mon salon d’esthétique dans le film La Liste de mes envies. Mon amoureux l’a détourné en porte-clés. Plus tard, il m’a composé un porte-colliers avec un ancien râteau.»
Les sacs
«J’adore les sacs, c’est peut-être mon seul côté fille. J’aime particulièrement la marque Jérôme Dreyfuss. J’adorerais le représenter. À bon entendeur...»
Les bougies Dyptique
«J’ai les mêmes bougies Diptyque à Paris et à Bruxelles, pour y diffuser la même odeur. Ma préférée c’est Oyedo, mais ils ne la font plus hélas.»