Ces jeunes tops belges sont les stars des défilés de demain
Elles sont jeunes, elles sont belles et elles rêvent de réussir dans le mannequinat. Ce sont les tops belges de demain, et aujourd’hui, elles sont dans GAEL.
7 tops belges à suivre de près
Jolien Bosmans
Jolien Bosmans
Qui ? Jolien Bosmans (16 ans).
Comment ça a commencé ? « J’ai été inspirée en regardant un défilé de mode et j’ai décidé impulsivement d’envoyer quelques photos et mes mensurations à des agences de mannequins. J’ai reçu une réponse très rapidement et j’ai signé dans une super agence (Unit, NDLR). C’est vraiment fantastique. »
Style personnel ? « Simple et classique. Quand je porte un chemisier blanc, une jupe à motifs et des Dr. Martens, je me sens vraiment moi-même. »
Ce qui la différencie ? « Je suis très romanesque. Un long trajet en train, sous la pluie, avec un livre : pour moi, il n’y a rien de plus beau. Je me soucie également des gens qui m’entourent. Je fais en sorte de beaucoup réfléchir sur moi-même et de m’améliorer en permanence. Quand je tiens à quelqu’un, c’est pour toute la vie. Je me sens d’ailleurs très connectée aux gens qui voient la vie de cette façon. »
Le meilleur côté du métier ? « Sans aucun doute la confiance en soi qu’il permet d’acquérir. Je me sens maintenant très à l’aise devant une caméra. Quand je pense à quel point mon corps me complexait avant, je ne me reconnais plus dans cette fille-là. »
Lola Gautho
Lola Gautho
Qui ? Lola Gautho (19 ans).
Comment ça a commencé ? « On m’a repérée dans un bar. »
Rêve ultime dans le mannequinat ? « Mon objectif : faire la couverture de Vogue France. »
Style personnel ? « J’aime porter des vêtements androgynes, un peu oversize. Je suis ravie du retour du jeans taille basse. Ma tenue fétiche : un débardeur, un perfecto en cuir noir et des Dr. Martens ( j’en ai plusieurs paires). »
Ce qui la différencie ? « Ce n’est pas facile d’être spéciale aujourd’hui... J’essaye en tout cas de rester moi-même. Je dis ce que je pense, je m’habille comme je veux et j’essaie de ne pas me soucier de l’avis des autres. »
Mirene Mahamat
Mirene Mahamat
Qui ? Mirene Mahamat (17 ans).
Rêve ultime dans le métier ? « Je veux juste être un top. Ma force et mon énergie, c’est un héritage maternel. Mon objectif : réussir à tout prix. Je suis hypnotisée par l’univers de la mode : les défilés, les vêtements — Prada, Saint Laurent —, l’énergie, la diversité qui se dégage de ce milieu. Je suis moi-même plusieurs personnes en une seule : parfois sombre, parfois légère. Ce qui est certain, c’est que je suis fermement décidée à saisir toutes les opportunités qui se présenteront à moi. »
Uma Jans
Uma Jans
Qui ? Uma Jans (18 ans).
Comment ça a commencé ? « J’ai été scoutée dans une rue commerçante. »
Rêve ultime dans le mannequinat ? « J’essaie de ne pas voir trop grand et de profiter de chaque instant. Bien sûr, je veux faire la couverture d’un magazine, mais je suis déjà très contente de ce que j’ai réalisé jusqu’à maintenant. »
Style personnel ? « Que du belge. Et le label COS a aussi un droit d’entrée dans mon dressing. »
Un leitmotiv ? « La vie est cool ! »
Ce qui la différencie ? « J’essaie d’être là pour les gens qui m’entourent, peu importe que nous soyons très amis ou non. Si je peux aider, je suis là. »
Maxine Hess
Maxine Hess
Qui ? Maxine Hess (15 ans).
Comment ça a commencé ? « J’ai été repérée dans un musée à Bruxelles, il y a presque deux ans. J’étais encore super jeune ! »
Ce qui la différencie ? « Honnêtement ? Je trouve que c’est très difficile de définir ce qui me démarque des autres... Je n’ai jamais été vraiment sûre de mon apparence. Je n’aurais jamais pensé qu’une agence puisse s’intéresser à moi. Mais depuis que j’ai signé chez Dominique Models, j’ai l’impression d’avoir rejoint une sorte de famille. Et je me sens beaucoup mieux dans ma peau. Mais mon grand atout, je ne l’ai pas encore découvert. »
Eliora Vandeputte
Eliora Vandeputte
Qui ? Eliora Vandeputte (20 ans). Comment ça a commencé ? « Il y a quatre ans, je me promenais dans un centre commercial. C’est là que j’ai été repérée. »
Rêve ultime dans le métier ? « J’aimerais obtenir une maîtrise en relations publiques pour plus tard utiliser les compétences que j’aurai acquises dans ce métier, mais cette fois, de l’autre côté de la barrière. »
Style personnel ? « Des baskets, des colliers mis les uns sur les autres et un t-shirt blanc : toujours un bon plan. »
Un mantra ? « Tout arrive pour une raison. Dans la vie, il ne faut rien forcer. »
Une astuce en or ? « Connais tes atouts (elle rit). Cela semble stupide, mais c’est vraiment la base ! »
Anaïs Bervoets
Anaïs Bervoets
Qui ? Anaïs Bervoets (22 ans). Comment ça a commencé ? « Au début de la pandémie, mon agence m’a repérée via Instagram. »
Inspiration ? « Professionnellement, je pense à Jill Kortleve ou Jewaria Luu, des mannequins hors normes, très différents des modèles aux physiques standards. Désormais, il n’est plus nécessaire d’avoir une taille 36 ou un visage classique pour réussir dans la mode. Et sur le plan personnel, ma mère m’inspire énormément. »
Le meilleur côté du métier ?« En tant qu’enfant ou adolescente, je n’ai jamais eu l’impression de pouvoir m’identifier à un mannequin. Quand on regardait les modèles il y a dix ans, on ne voyait ni taches de rousseur, ni rondeurs, ni différences ethniques. Désormais, j’ai compris que je pouvais être mon propre modèle et inspirer les autres. À travers ce job de mannequin, je pense qu’on peut aujourd’hui aider les gens à trouver qui ils sont. »
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