Ce que vous réserve le GAEL Spécial Mode de mars

Il y a 4 ans, Virginie Hocq était une de nos toutes premières GAEL Guest. Elle nous avait reçus, très enceinte, dans son appartement bruxellois. « On y habite toujours. Mais il y a un peu moins de place, avec tous les objets que Sullyvan ramène du marché aux puces. On achèterait bien une maison, mais avec nos boulots liés à des tournées, ce n’est pas facile d’être là tous les deux aux visites. Je ne vais quand même pas choisir une maison sans lui ! » À ma question envoyée par SMS ce matin : « Je prévois un sandwich : tu veux quoi ? », elle a répondu : « Comme toi. » Celle-là, c’est la première fois qu’un Guest me la fait ! Je n’aurais pas été choquée par un « sans féculent / sauce / viande / gluten / lait de vache ».

« Virginie joue. Il n’y a pas de star ici, mais une femme libre qui s’assume et qui s’amuse. »

Virginie croque son mozza-pesto-tomates séchées pendant l’interview, à laquelle elle se prête avec une spontanéité de bonne copine. Après le maquillage, elle regarde à peine son reflet — « Oh merci, c’est bien » — et se prête aux photos avec l’élan d’une première fois. Amusée par le dédale des salles de la caserne désafectée, elle nous entraîne à l’aventure aux autres étages, où nous découvrons de photogéniques lieux d’aisance. « Allez, Anne-So, on fait la même chose ! » Virginie joue. Il n’y a pas de star ici, mais une femme libre qui s’assume et qui s’amuse. Dans le respect (taquin) de chacun, mais en sortant des clous. Ce naturel, cette liberté, cet humour qui rend tout léger, c’est drôlement élégant. On en prend de la graine.