« Wanderlust gene »: existe-t-il un gène du voyage?
Depuis mon retour d’Erasmus il y a quatre ans, j’ai la bougeotte: dès que je le peux, même en solo, je prends l’avion pour une destination lointaine. Mais, en ce qui me concerne, je ne pars jamais pour très longtemps. Ma meilleure amie, quant à elle, a déménagé à Madrid. Tandis que mon chéri aime sa vie ici et ne ressent aucun besoin d’évasion. Comment se fait-il que nos envies soient si différentes ? Existe-t-il un gène du voyage?
Le gène du voyage
Pourquoi certains ont le désir intarissable de bourlinguer tandis que d’autres ressentent la nécessité de rester chez eux? Il y aurait une réponse toute simple. Cette pulsion du voyage serait inscrite dans notre ADN. Certains scientifiques révèlent qu’il existe un gène du globe-trotteur, le DRD4-7R, aussi appelé le « wanderlust gene ». Ce gène du voyage est associé à la sensation de plaisir et se caractérise par un goût du risque, d’indépendance, une vive curiosité ainsi qu’une attirance pour la nouveauté.
Il existerait donc deux types de personnes: les casaniers qui trouvent tout ce dont ils ont besoin dans leur propre ville et les aventuriers qui trouvent du plaisir et de l’excitation rien qu’à l’idée de partir sac au dos. Si vous êtes plus « rester c’est exister, voyager c’est vivre » que « rien ne vaut son chez soi », j’ai un scoop pour vous: vous être sûrement porteur du gène.
20% de la population
« LE VOYAGE APPELLE LE VOYAGE »
Il se pourrait donc bien que je possède ce gène DRD4-7R. Cela expliquerait mon éternelle insatisfaction, mon envie perpétuelle de multiplier les expériences, d’explorer de nouveaux endroits, de multiplier les opportunités et cette notion du risque très floue.
Et vous, est-ce que vous possédez le « wanderlust gene »?
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