7 films d’horreur à mater un vendredi 13 pour une soirée terrifiante

Ne regardez pas la cassette: elle vous condamne à mourir dans les 7 jours. C’est sur ce principe qu’est basé ce terrifiant long-métrage, remake de Ring (Hideo Nakata) sorti en 1998. La version de Gore Verbinski, datant de 2002, n’a pas récolté un franc succès auprès de la critique. Pourtant, Naomi Watts fait vivre un film peut-être un peu trop « hollywoodien » (surtout à la fin) mais toujours très haletant, qui est bien meilleur que la version de 2017.

La bande annonce, c’est par ici!

Entre le drame et le fantastique, inséré dans l’épouvante, ce film réalisé par Alejandro Amenabar en 2001 est une vraie réussite. Nicole Kidman est comme à son habitude parfaitement juste et poignante dans un rôle complexe. Elle campe Grace, mère de deux enfants intolérants à la lumière du jour, vivant dans un vieux manoir. A la recherche d’une nouvelle nounou, elle engage trois mystérieux individus. C’est alors que des événements étranges surviennent... La fin est aussi sublime qu’inattendue.

Découvrez la bande-annonce ici.

Adeptes des esthétiques très travaillées, A Cure for Life est fait pour vous. C’est vrai, le scénario est assez limpide et tire un peu en longueur. Mais Gore Verbinski (et oui, encore lui) offre des images époustouflantes de beauté dans un film aux ambiances vraiment particulières. Le côté malsain et métaphorique est maîtrisé à la perfection. Le héros, Lockhart, tente de découvrir les secrets de l’étrange cure de bien-être dans laquelle il est plongé contre son gré. Mais finalement, n’est-ce pas lui qui déraille?

Pour avoir une idée du style artistique du film, regardez la bande-annonce ici.

Sorti en 2008, Martyrs (Pascal Laugier) s’ouvre sur la fuite d’une enfant, tête rasée, à peine habillée, blessée. Lucie a réussi à s’échapper de l’endroit où elle était séquestrée depuis plusieurs mois. Depuis lors, elle est poursuivie par une horrifiante hallucination incarnant sa culpabilité de n’avoir pas aidé les autres prisonnières. Quinze années plus tard, elle décide de se venger de ses bourreaux. Mais c’est Anna, sa seule amie, qui finit par vivre l’enfer... Martyrs a largement divisé la critique. En tout cas, il est psychologiquement très éprouvant et profond.

Un aperçu? C’est par ici.

On sait que c’est une série! Mais on ne résiste pas à l’envie de vous encourager à tenter l’expérience AHS. Le principe? 9 saisons dans lesquelles on retrouve les mêmes acteurs, mais une histoire totalement différente. Eh oui, le méchant de la saison 1 peut devenir la victime de la saison 4! On accroche au concept. Comme dans toute série, certaines saisons sont meilleures que d’autres. Nous, on a beaucoup accroché à la saison 2 (Asylum) et 5 (Hotel, avec Lady Gaga en guest).

On ne résiste pas à vous montrer les incroyables génériques, super imagés et flippants: ici, la saison 2 ; ici, la saison 5.

En attendant le second volet (dans nos salles le 18 septembre), quoi de mieux que se remémorer les événements du premier film? Grippe-Sou le Clown a hanté les cauchemars et nourri les phobies de plusieurs générations. On remercie Stephen King de nous avoir filé des peurs paniques grâce à ses romans au sommet de l’angoisse adaptés sur le grand écran par Andrés Muschietti. Disponible sur Netflix.

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On continue dans la lignée des adaptations des livres de Stephen King avec ce classique du film d’horreur. Si vous ne l’avez jamais vu, vous visualisez au moins cet homme défonçant une porte en bois à la hache, une femme hurlant de l’autre côté. Jack Nicholson est spectaculaire dans ce long métrage haletant de Kubrick, qui joue avec votre psyché en mettant en place une ambiance on ne peut plus glauque. Les couloirs de l’hôtel Overlook vous donneront le tournis. Egalement disponible sur Netflix.

La bande annonce est disponible ici.