Nos lecteurs et lectrices dévoilent les pires tue-l’amour pendant un rencard
Gestes déplacés, conversations gênantes: nous avons demandé à des lectrices et des lecteurs quels sont ces tue-l’amour qui leur donnent envie de fuir.
Une blague maladroite, une remarque gênante ou une discussion monopolisée: il suffit d’un rien pour que l’autre prenne ses jambes à son cou. Et vous, quelles sont ces « erreurs tue-l’amour » qui vous empêchent d’envisager un deuxième rendez-vous? Des lecteurs et des lectrices se sont confiés à nous.
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Les 6 tue-l’amour de nos lecteurs
Pierre (38 ans) : « Se plaindre n’est pas attirant »
« Je ne supporte plus les personnes qui se plaignent tout le temps. C’est très irritant, surtout lors d’un premier rendez-vous. Plaintes au sujet de son ex, des collègues, du boulot, du corona, du dîner... Certes, on a le droit d’exprimer son mécontentement, mais je trouve que c’est un sujet à éviter lors d’un premier rendez-vous. Cela plombe vraiment l’ambiance. Personne n’a envie de faire connaissance en discutant de ce/cette collègue hyper bruyant et incompétent qui travaille mois bien que vous... »
Lisa (28 ans) : « Je déteste les personnes qui ne parlent que d’elles »
« Moi, moi et moi: je ne supporte pas les personnes qui ne parlent que d’elles et qui ne prennent pas le temps d’écouter l’autre. Bien sur, c’est le moment de se livrer et de parler de soi, mais je n’ai pas besoin d’entendre le résumé de votre vie en deux heures top chrono. Et, lorsque vous avez enfin la parole, elles rebondissent sur ce que vous étiez en train de raconter pour tirer de nouveau la couverture vers elles... Très peu pour moi! »
Jessica (35 ans): « Je ne supporte plus les personnes matérialistes »
« J’ai eu quelques rendez-vous Tinder et ce qui m’horripile le plus, ce sont les hommes ultra matérialistes. Impossible d’aborder une conversation normale, tout doit tourner autour de leur voiture, de leur salaire et de cette promotion qu’elles rêvent d’obtenir. Certains pensent que ça nous impressionne, mais perso je trouve ce genre de discussion tellement barbante. Tout ce que je veux, moi, c’est apprendre à connaître la personne qui est en face de mois, je me fiche de son patrimoine immobilier ou de son plan de carrière. Bien entendu, je ne suis pas contre toute discussion professionnelle, j’aime connaître ce que fait l’autre et en apprendre plus sur ses ambitions. Mais quand tout tourne autour de ça, cela devient vite très ennuyeux. «
« Elle était très jolie et nous partagions beaucoup de points communs, mais la voir claquer des doigts pour faire venir le serveur et renvoyer son plat sans raison m’a vraiment mis mal à l’aise. »
Steven (44 ans) : « Elle avait un comportement déplacé vis-à-vis du serveur »
« Depuis mon divorce – il y a deux ans maintenant – je n’ai pas eu beaucoup de rendez-vous. Et les rares rendez-vous que j’ai eus ne se sont pas vraiment bien déroulé. Mon pire rendez-vous était avec une femme qui avait une attitude très agressive vis-à-vis du serveur. Elle était très jolie et nous partagions beaucoup de points communs, mais la voir claquer des doigts pour faire venir le serveur et renvoyer son plat sans raison – sous prétexte que ce n’était pas assez bon – m’a vraiment mis mal à l’aise. Je me suis excusé auprès du serveur dès que j’en ai eu l’occasion. »
Diana (37 ans) : « Trop de fautes d’orthographe »
« Bien que j’étais sceptique concernant les applications de rencontres, je me suis lancée sur Tinder pendant la crise corona. Entre les photos particulières et les descriptions nébuleuses, je ne suis pas convaincue... Ce qui m’énerve le plus? Les personnes qui abrègent leurs messages comme les adolescents des années 2000 et les horribles fôte d’orthograf. ARF »
Lara (22 ans): « Il faisait des remarques racistes »
« Un jour, je buvais un verre avec un gars que j’avais rencontré sur Tinder. Le gars était mignon, drôle et plutôt intelligent. Le hic? À peine assis à table, il a balancé une remarque raciste concernant deux demoiselles assises à deux tables de nous. Suffisamment fort pour que les autres tables se retournent sur nous et nous dévisagent.”
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