6 obstacles à la communication

Colère, fatigue, technologie: tant d’éléments qui constituent des entraves à la communication lorsque l’on veut mettre une situation au clair ou rétablir une mésentente. On vous explique!

Communiquer est essentiel, mais encore faut-il choisir son moment pour que les conditions soient adéquates: si l’une des deux parties n’est pas dans un état de réception, difficile de faire passer le message...

Echanger dans des moments qui ne s’y prêtent pas donne un résultat explosif ou stérile; bref, sans intérêt. Se comprendre est déjà suffisamment difficile que pour y ajouter des obstacles. On pense donc à éviter de discuter lorsque l’on se trouve dans l’une de ces 6 situations.

1. LA COLÈRE

Rassemblez le peu de calme qu’il vous reste et remettez la discussion à plus tard. Il ne sert à rien de discuter quand on est en colère, toute objectivité s’étant envolée. Le cri est libérateur: enfermez vous dans une pièce isolée et laissez-vous aller. Faites du sport ou toute autre activité qui vous permettra d’extérioriser et de vous débarrasser de cette énergie négative.

2. LA TECHNOLOGIE

On ne règle pas un problème par GSM ou e-mail, mais en face à face. Si vous voulez avoir un échange sain et être sûre que vous comprenez l’autre (et que vous êtes comprise), vous avez besoin de ressentir et de percevoir ses réactions. D’autant plus que derrière un appareil électronique, vous aurez plus facilement tendance à dire des choses que vous regretterez!

3. LA FATIGUE

Choisissez un moment propice à la discussion: si votre conjoint n’est pas du matin, il ne sert à rien d’entamer une discussion autour du petit-déjeuner. Fatiguée, nous avons tendance à plus facilement ressentir une discussion houleuse comme une agression. Le maître mot est donc de choisir un moment où les deux parties sont réceptives.

4. LE BRUIT

Discuter calmement si le monde s’enflamme autour de nous n’est tout bonnement pas possible. Trouvez un endroit paisible pour échanger -le bruit irrite et ne met vraiment pas dans un état d’esprit favorable à la discussion. A table, la télé allumée, la distraction est assurée, on veillera donc à éteindre le petit écran avant d’entamer la conversation.

5. LA DÉPRIME

L’amertume ou la déprime profonde vous fatigue et vous lasse, vous perdez tout contact avec la réalité et une discussion est la dernière des choses dont vous avez envie. Vous êtes faible et fragile, vous n’êtes pas en état de supporter une discussion et de participer à un vrai échange. Vous ne vous sentez pas concernée par ce qu’il se passe. On crée alors la frustration, parce que l’autre ne se sent pas écouté.

Plutôt que de discuter, pourquoi ne pas écouter celui qui se sent déprimé? Pour qu’une fois son sac vidé, il soit prêt à écouter en retour?

6. LA FAIM

Et oui: lorsqu’on a faim, on est de mauvaise humeur et notre niveau de concentration est plus bas! Tout est donc question d’observation. Une fois ces éléments pris en compte, on est prêt pour une conversation constructive et pour tout mettre en œuvre pour rétablir la communication.

BIEN DANS SA TETE ET DANS SON CORPS:

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