Ma routine bien-être: 15 minutes pour se sentir plus épanoui(e) au quotidien

Et si vous preniez 15 minutes pour vous? Un petit quart d’heure pour vous recentrer sur vous-même et méditer sur la journée à venir.

Un quart d’heure par jour, ce n’est pas cher payé pour se sentir plus épanouie au quotidien, non? On vous propose une routine 100% bien-être pour vous retrouver dans un quotidien toujours plus chargé. Entre le boulot, les sorties, les appels en famille, chéri(e) et les enfants, on a bien mérité une petite pause rien qu’à soi. 15 minutes top chrono, vous nous suivez?

Quelques exercices pour bien démarrer/terminer la journée

Que vous soyez un(e) lève-tôt ou un(e) couche-tard, peu importe le moment que vous choisissez pour effectuer cette routine, l’important est de s’y tenir et de s’offrir 15 minutes de me-time, 15 minutes, loin de votre smartphone, rien que pour vous et vos pensées!

Respirer

Commencez par des exercices de respiration. Cela vous permettra de vous déconnecter de vos pensées en vous concentrant sur votre souffle. Est si vous essayiez la respiration abdominale? Au lieu de vous limiter à une respiration de poitrine, prenez le temps d’activer votre diaphragme en veillant à inspirer en gonflant le ventre et à expirer en contractant le ventre le plus possible. Vous verrez, cela diminuera votre stress et cela  activera aussi vos abdos! Concentrez-vous sur ce va-et-vient de l’air pendant une minute et essayez de poursuivre cette respiration pendant le reste des exercices.

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Libérez votre cerveau

Prenez quelques feuilles afin de retranscrire toutes les idées qui vous viennent en tête (programme de la journée, rappel, projets...). Cela permettra de libérer votre cerveau et d’être entièrement focalisée sur vous pendant le reste de l’exercice.

On pense positif!

Pour se sentir plus épanoui(e), il est essentiel de commencer/terminer la journée avec des pensées positives. On ne dit pas que les sentiments négatifs ne peuvent pas avoir de place dans votre quotidien, mais prenez l’habitude de consacrer quelques minutes à des idées positives. Commencez en listant tout ce pour quoi vous êtes reconnaissant(e). Le fait d’avoir un toit au-dessus de soi, de quoi boire/manger ou encore des personnes bienveillantes autour de vous....

Des compliments... à soi-même

Il est l’heure de s’auto-complimenter. Listez vos qualités, acceptez vos défauts et regardez les derniers événements avec un regard bienveillant. Soulignez également 3 réussites de la veille/du jour, listez des petits événements qui vous rendent fier/fière. Il peut s’agir d’une simple prise de parole lors d’une réunion, d’une tâche administrative que vous avez enfin terminée... Prenez le temps de vous remémorer vos victoires et répétez quelques phrases positives qui reboostent votre confiance, du style: « Je m’aime, je suis un homme/une femme fort(e) et je mérite d’être aimé(e) pour ce que je suis. » N’hésitez pas à mettre tout cela par écrit afin de pouvoir relire ces textes quand vous aurez un coup de mou.

Les bonnes questions

Revenez aussi sur vos défis/déceptions du jour et analysez votre niveau d’anxiété. Est-ce que vous vous sentez stressé(e)? Si oui, pourquoi? Avez-vous une réelle emprise sur ces événements? Si ce n’est pas le cas, acceptez l’idée que stresser davantage n’y changera rien. Pour chasser ses idées négatives très intrusives, vous pouvez aussi appliquer la méthode The Work de Byron Katie. Cela consiste à formuler, par écrit ou à voix haute, cette croyance qui vous pourrit la vie (« Je suis nulle », « Personne ne n’aime », « Je ne mérite pas ma place »...).

Posez-vous ensuite ces 4 questions: est-ce vrai? Êtes-vous absolument certain(e) que c’est vrai ? Qu’est ce que cette pensée suscite en vous, comment réagissez-vous quand elle survient? (est-ce que je ressens du soulagement, de la tristesse, du découragement). Enfin, pensez à la personne que vous seriez si cette pensée ne venait pas vous perturber. Pendant que vous vous posez ces questions, faites une introspection: est-ce que vous vous donnez réellement les moyens de chasser ces idées ou est-ce que vous vous raccrochez à ces croyances pour justifier une peur de l’échec? Vous verrez, vous vous sentirez libéré(e)!

Bien dans mes baskets!

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