Els, 44 ans, a testé les fillers pour faire corriger son nez

Changer d’apparence... Pour celles qui souhaitent franchir le pas, une opération est une piste à envisager. Mais pas sans avoir exploré tous les tenants et aboutissants. Pour prendre une décision, rien de tel que de se fier à différents témoignages.

Els, 44 ans, nous raconte son expérience avec les fillers, auxquels elle a eu recours pour faire corriger son nez.

Fillers: le témoignage d’Els, 44 ans

« Je n’avais jamais fait de chirurgie esthétique et j’avais bien l’intention de ne surtout pas commencer. Je ne vois pas le fait de vieillir comme un problème. Je me fiche de mes rides, je fais teindre mes cheveux gris et je tente parfois de tricher sur mon âge en soignant mon look. Pour me taquiner, mon fils me dit parfois que j’ai l’air d’avoir... 43 ans. En gros, je ne me considère pas comme une fille bourrée de complexes. Bien sûr, je connais mes points faibles : j’ai des taches pigmentaires causées par une maladie auto-immune. Je n’ai pas le ventre plat ( j’aime trop les pâtes) et j’ai un nez long et tordu, un héritage familial. Et même si ça m’arrive parfois d’être choquée de le voir en photo, ça ne m’empêche pas de dormir. En tout cas, je n’ai jamais envisagé d’avoir recours à la chirurgie pour le corriger. Mais quand ma collègue, journaliste beauté pour GAEL, m’a annoncé qu’il existait une solution à mon problème — une rhinoplastie non chirurgicale visant à combler le nez avec un liquide en vue de l’égaliser —, j’ai voulu tester. Au nom de la science, de l’expérimentation, et simplement parce que je voulais me voir avec le nez droit !

« L’intervention en elle-même est désagréable, mais pas douloureuse, et surtout très rapide. Au bout de trois minutes, j’avais un nouveau nez : plus droit et plus beau »

J’ai pris rendez-vous à la Lightfalls Clinic, une clinique esthétique de luxe réputée qui pratique presque tous les types de chirurgie. Le Dr Cambré a regardé mon nez et a pris des photos avant de me proposer de me débarrasser de la bosse en haut de mon nez, puis de relever légèrement le bout qui, jusque-là, pointait vers le bas. De face, rien ne changerait. Il a promis de s’arrêter au cours de l’intervention pour que je puisse voir si j’étais OK avec la future apparence de mon nez. L’occasion de rappeler que si vous vous faites injecter de l’acide hyaluronique et que vous trouvez le résultat terrible, vous pouvez faire retirer le produit immédiatement. On m’a appliqué une pommade anesthésiante. Puis on m’a fait une piqûre sur le bout du nez. L’acide hyaluronique a été introduit par ce trou à l’aide d’une aiguille émoussée (ou canule). Compte tenu du nombre d’artères présentes dans le nez, ce type d’aiguille est essentiel. Si le médecin en endommage une, vous pouvez notamment perdre la vue ou l’odorat. En utilisant une aiguille émoussée, ce risque est presque inexistant. Juste avant l’intervention, j’ai signé un formulaire indiquant que j’étais informée des risques. L’intervention en elle-même est désagréable, mais pas douloureuse, et surtout très rapide. Au bout de trois minutes, j’avais un nouveau nez : plus droit et plus beau. Donc mieux que l’ancien. J’ai pris une autre série de photos et je me suis regardée dans le miroir toutes les cinq minutes pendant la première heure après la chirurgie. Franchement, j’étais assez contente et j’ai décidé de recommencer une fois que le résultat aurait disparu

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